Grands projets

À la croisée de la formation, de la recherche et de l’innovation, le Cnam s’engage dans de nombreux projets structurants pour répondre aux grands défis de notre époque : transition écologique, révolution numérique, intelligence artificielle, transformation des compétences et innovations pédagogiques. Portés en partenariat avec d’autres établissements d’enseignement, de recherche et des acteurs socio-économiques, ces projets illustrent la volonté du Cnam d’être un acteur majeur des mutations en cours, au service de la société, des territoires et des individus.

Lauréat de l’appel à projet « ExcellencES sous toutes ses formes » du plan France 2030, le projet ConfluencES vise à renforcer l’insertion professionnelle des étudiants en repensant l’offre de formation et la recherche face aux transitions numériques, écologiques et démographiques. Porté par le Cnam et ses partenaires (Arts et Métiers, CESI, ENSAPLV, IFM, ESAA Duperré, AOCDTF, CMNA), ConfluencES bénéficie d’un budget de 13,3M€ sur 8 ans.

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Lauréat de l’appel à manifestation d'intérêt « Compétences et métiers d'avenir » de France 2030, le projet CAIRE (Citizen-oriented Artificial Intelligence training for a Responsible Education) ambitionne de former 28 000 personnes aux usages de l’intelligence artificielle en 5 ans. Coordonné par Arts et Métiers, il réunit le Cnam, le CESI, l’Université Bourgogne Europe et Paris School of Business pour démocratiser une IA responsable et éclairée.

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Lauréat de l’appel à manifestation d’intérêt « IA-Cluster » de France 2030, le projet PostGenAI@Paris est coordonné par Sorbonne Université et bénéficie d'un financement de 35 M€ sur 5 ans. Il vise à positionner la France comme un leader mondial dans le domaine de l’intelligence artificielle post-générative en développant des IA capables de comprendre et d’interagir de manière autonome. L’une des ambitions de PostGenAI@Paris est de former une nouvelle génération d'experts en intelligence artificielle (IA). Dans ce cadre, le Cnam joue un rôle central en apportant son expertise et en contribuant activement au succès du projet;

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Lauréat de l’appel à manifestations d’intérêt « DemoES » de France 2030, le projet JENII est porté par Arts et Métiers en collaboration avec le CEA, le Cnam et le CESI. Lancé en 2021, il bénéficie d’un budget de 9,5M€ sur 3 ans. Le projet cherche à transformer la formation en intégrant des jumeaux numériques et des environnements immersifs. L’objectif est de créer des expériences d’apprentissage immersives et personnalisées, permettant aux étudiants, professionnels et personnes en reconversion de manipuler des systèmes virtuels proches du réel. 

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Lancée en 2022, l'École de la Batterie est un projet soutenu par l'État dans le cadre du Programme France 2030, visant à stimuler la croissance de la filière française des batteries en formant une main-d'œuvre qualifiée et compétente. Initiée par l'industriel grenoblois Verkor et pilotée par un consortium d'entreprises et d'organismes de formation, l'école vise à former 1 600 étudiants par an. Le projet répond aux besoins urgents de l'industrie en offrant des formations innovantes pour développer des compétences essentielles face aux défis de la transition énergétique. 

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Lauréat de l’appel à manifestation d’intérêt « Compétences et métiers d’avenir » de France 2030, le projet Transformeurs, porté par l’Union des Transports publics et ferroviaires (UTPF) et un collectif de 27 partenaires, vise à répondre aux besoins en compétences des secteurs du transport urbain, interurbain et ferroviaire. Doté de 12 millions d’euros, dont 8 millions de soutien public, ce projet stratégique accompagne les mutations profondes du secteur, portées par les transitions écologique et numérique, en s’appuyant sur une offre de formation ambitieuse et innovante.

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Les usages pédagogiques du numérique sont intégrés dans les pratiques d’enseignement du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) depuis une trentaine d’années. Cette solide expérience a conduit un collectif d’enseignants-chercheurs à innover dans le domaine de la réalité virtuelle et à créer le jumeau numérique d’un laboratoire de travaux pratiques dédié aux enseignements de la chimie, de l’agroalimentaire et du génie des procédés : le projet CAP’VR (Chimie Agro Pharma Virtual Reality).
L’utilisation de nouvelles technologies immersives dans l’enseignement supérieur a montré un effet positif sur la qualité de l’apprentissage, notamment en agissant sur l’attitude des apprenants. Imaginé pour l’usage des élèves et des enseignants, ce dispositif de réalité virtuelle permet de rendre les cours plus accessibles et plus attractifs pour l’ensemble de nos publics.

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